« In the shade » part pour les Cornouailles. Le mystère de la fenêtre bleue s’envole vers un autre pays, au-delà de la mer..
C’est comme un petit bout de soi qui s’efface. Chaque toile a son histoire, a ses moments de concentration que je retiens, instinctivement. Je m’attache trop à mes toiles m’a-t-on dit.. mais si je n’avais pas la moindre émotion, cela ne voudrait plus rien dire !
Une peinture qui se respire. Le vent marin lui portera les honneurs d’avoir été peinte entre de bonnes mains. Les ombres, reflets et aspérités s’effacent devant l’imperfection si dure à restituer. Qui sait, un jour, après les fleurs et le dos des éléphants, viendra, celui des coquilles et de l’eau à verse.
Or et Lie, le dos des éléphants est en cours de peinture sur les toiles mais il n’est pas exclu que la pluie vienne y mettre quelques gouttes aussi.
Il ne s’efface pas! Il va juste continuer à laisser des traces. Ailleurs. D’autres regards. D’autres émotions. Mais ne t’inquiète pas… il ne peut pas t’oublier!
Hazlo, la personne m’a assuré qu’il serait en belle place aux Cornouailles. Peut-être d’ailleurs, irai-je le revoir ?? qui sait ?
et bien moi je devine sur cette toile l’ombre du visage d’un homme aux cheveux blancs et barbe blanche à gauche sur le mur, qui regarde vers la fenêtre bleue d’un air bienveillant et dans la vitre de droite j’y vois le contour de la silhouette d’une femme tête posée sur l’épaule d’un homme. Un moment paisible sans doute privilégié. Qui sont ces personnages ? Je vois bien où est-ce une interprétation ?
Bonjour, pour la « vision » dans la fenêtre bleue, l’interprétation est la bonne. Pour ce qui est de la silhouette de l’homme sur le mur de gauche, non. Juste de la matière.